Révélé à la télévision, le journaliste Hugo Clément sort « Comment j’ai arrêté de manger les animaux », un manifeste et guide pratique qui veut casser les idées reçues sur le végétarisme.
Difficile de ne pas savoir qui est Hugo Clément, ce journaliste politique, écologiste convaincu et militant notamment de la cause animale. Découvert dans l’émission Le Petit Journal de Yann Barthès puis dans Quotidien sur TMC, Hugo Clément travaille désormais chez Konbini News, un média d’infotainment. Il y couvre l’actualité politique et écologique en vidéo.
En parallèle, le bientôt trentenaire sort un ouvrage / guide pratique sur sa pratique du végétarisme. Depuis 2 ans déjà, le journaliste a en effet fait le choix de ne plus consommer d’animaux. Un changement alimentaire qu’il a effectué progressivement : « J’adore la viande. Encore plus le poisson. J’aime l’odeur des saucisses grillées au barbecue, un soir d’été, dans le jardin. Je raffole du poisson que mon père chasse au fusil harpon, du poisson cru sous toutes ses formes, en sushi, en tartare, en ceviche. J’en mangeais tous les jours. Mais, depuis deux ans, je ne mange plus un seul morceau de viande. Depuis un an, plus un seul de poisson. Cette décision vient d’une prise de conscience progressive, motivée par trois évidences : je n’ai pas besoin de manger de viande ni de poisson pour être en bonne santé, au contraire, l’élevage et la pêche industriels sont un fléau pour l’environnement, et enfin la manière dont l’humanité traite les animaux, particulièrement ceux d’élevage, est ignoble et immorale. »
Dans « Comment j’ai arrêté de manger les animaux », le journaliste s’appuie sur des consensus scientifiques afin de donner des arguments probants et clairs, à la fois pour aider les végétariens qui veulent convaincre leurs proches, mais aussi à destination des carnivores curieux de cette pratique. En 190 pages, le livre aborde donc la question du végétarisme et sa place nouvellement acquise dans les discussions familiales et amicales. Il est disponible dès le 21 février en librairie.